Votre enfant fait partie de la Génération Z ? 

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Les statistiques que tous les parents devraient connaître

• 36% des jeunes diplômés regrettent leur orientation (INSEE 2023)

• 1 jeune sur 2 quitte son entreprise avant 2 ans (DARES 2023)

• 43% des 18-29 ans en burn-out (QAPA 2024)

• 70% des - de 30 ans cherchent un "sens" qu'ils ne trouvent pas (IPSOS 2023)

Si votre enfant doit choisir son orientation dans 4 mois ou s'il est déjà malheureux dans ses études, il risque de faire partie de ces statistiques.

 

Pourquoi cette génération échoue là où nous avons réussi

Ce n'est pas une génération "difficile" ou "gâtée". C'est une génération qui fonctionne différemment.

Nous, on compensait. On s'adaptait. On faisait avec.

Eux, ils partent. Quand ça ne correspond pas à leur fonctionnement, ils ne se forcent plus. Ils démissionnent. Ils se réorientent. Ils cherchent ailleurs.

Les employeurs sont formels : 76% des jeunes exigent l'alignement avec leurs valeurs pour s'engager (LinkedIn 2023). Sans cela, ils partent, point.

 

Le vrai problème : on oriente sur les notes, pas sur le fonctionnement

L'école fait son travail : elle identifie les capacités, informe sur les débouchés, prépare aux concours.

Mais il manque une pièce cruciale : comprendre COMMENT le cerveau de votre enfant traite l'information.

Parce que deux élèves avec les mêmes notes en sciences peuvent avoir des fonctionnements totalement différents :

• L'un est fait pour la médecine d'urgence (décisions rapides, stress)

• L'autre pour la recherche médicale (analyse longue, patience)

Même notes, même diplôme possible, mais pas le même avenir.

 

Le cas de Rose : le blocage classique de l'orientation

Rose, 17 ans, est convaincue et veut s'orienter vers l'architecture d'intérieur. Elle a un bon niveau pour son entrée en Terminale, douée en dessin, créative, passionnée par l'aménagement d'espaces, mais des difficultés en maths.​

Ses parents sont inquiets :  Faut-il l'empêcher de suivre sa passion ? La forcer vers autre chose ? Accepter qu'elle se plante ?

 

Ce que révèle le bilan PIVAR de Rose : la vérité derrière "faiblesse en mathématiques abstraites"

À travers 75 questions ouvertes où Rose décrit comment elle organise ses cours, planifie ses projets, résout des problèmes du quotidien, PIVAR cartographie son fonctionnement cognitif réel.

La révélation :

Rose n'est pas "faible en maths". Son scoring cognitif final la positionne déjà en  Niveau 6 Détecteur.

Ses scores révèlent deux réalités qui coexistent :

• 0/4 en abstraction mathématique (d'où ses notes catastrophiques)

• MAIS 4/4 en organisation spatiale (excellence)

• ET 3.7/4 en analyse concrète (très élevé)

Le bilan PIVAR l'explique : "Les concepts abstraits te rebutent. Normal, ton cerveau préfère le concret. Utilise des exemples visuels pour comprendre."

La vraie révélation ? Rose fait des mathématiques complexes en permanence - calculs de proportions, optimisation d'espaces, analyse de contraintes. Mais son cerveau les traite de manière spatiale et concrète, pas abstraite.

 

Ce que le bilan PIVAR apporte 

PIVAR précise l'orientation de Rose en s'appuyant sur ces forces cognitives qui s'alignent parfaitement avec son projet

Architecture d'intérieur  (la voie est tracée vers Camondo/Boulle) pour un métier aligné : organisation spatiale, analyse des usages, optimisation concrète → Parfait pour Rose

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Ce que révèle vraiment un bilan PIVAR : bien plus qu'une orientation

Le bilan PIVAR de Rose ne lui dit pas quoi faire. Il lui révèle comment elle fonctionne.

Deux documents HTML interactifs avec codes couleurs (pas un PDF indigeste) montrent à Rose son architecture cognitive unique. En un coup d'œil, elle comprend pourquoi elle galère en maths abstraites mais excelle quand il faut organiser et analyser du concret.

La révolution des "spectres de missions" plutôt que des métiers.

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PIVAR ne dit pas "deviens architecte d'intérieur". Il révèle que Rose excelle dans les missions de type "structuration d'espaces" et "optimisation fonctionnelle". Aujourd'hui c'est architecte d'intérieur, demain ce sera peut-être "designer d'espaces virtuels". Les métiers changent, les capacités cognitives restent.

Rose découvre 12 spectres de missions où son cerveau fonctionne naturellement :​

​Le plus libérateur pour Rose ? Découvrir que ses capacités sont valorisables dans 25 secteurs différents. Architecture bien sûr, mais aussi le la mode et le  luxe  (Visual merchandiser Mode utilise les mêmes capacités), Droit et justice  ( Le droit immobilier structure les projets d'architecture. Ton niveau 6 détecte les problèmes juridiques avant qu'ils arrivent), Décoratrice d'intérieur (l'expression créative de l'architecture d'intérieur, sans les contraintes techniques)...

Elle n'est plus enfermée dans un choix définitif. Elle a une boussole pour naviguer dans un monde qui change.

Les axes de progression personnalisés : la bienveillance qui fait grandir

Pas de jugement, mais des conseils concrets. Pour Rose : "Tu veux que tout soit PARFAIT dans ton organisation... parfois bien fait suffit pour avancer." C'est ça qui fait la différence entre un test qui catégorise et un outil qui fait progresser.

 

La réalité pour votre enfant

65% des métiers de 2040 n'existent pas encore.

Le bilan PIVAR l'explique clairement : "Les libellés de postes changent tous les jours. Ce qu'on te montre : le SPECTRE des missions où tes capacités fonctionnent."

Rose ne sera pas définie par un métier. Elle sera Rose, avec sa combinaison unique organisation + analyse, capable d'exceller dans des missions de structuration, d'optimisation, de coordination... peu importe comment on les appellera demain.

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Les signaux d'alerte à reconnaître

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• Votre enfant a des bonnes notes mais vous le sentez stressé, pas à sa place

• Votre enfant a des notes moyennes et vous ne savez plus quoi lui proposer, parce qu'il n'a aucune idée pour lui-même

• Les discussions Parcoursup finissent en dispute

• Vous ne comprenez pas ses choix, lui non plus d'ailleurs

• Votre enfant choisit parce que c'est tendance ou parce qu'il a fait un stage de 3 jours et pense avoir fait le tour du sujet

• Votre enfanté coute ses passions et ses hobbies et pense pouvoir gagner sa vie avec

• Votre enfant s'est déjà trompé et abandonne ses études, replié sur une alternance subie ou un job alimentaire avec le sentiment d'échec

• Votre enfant est engagé dans un cursus mais ses notes l'empêchent de choisir sa spécialité - coincé par les quotas, il subira 40 ans un métier non choisi

• Votre enfant dit : "Je ne trouve pas ma voie", "Ça ne me correspond pas", "Je veux du sens", "Je suis nul(le)", "Les autres y arrivent, pas moi". Ce ne sont pas des caprices. C'est le signal d'un décalage entre son fonctionnement et ce qu'on lui demande.

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Pour vous, parents qui cherchez des solutions

Si Parcoursup vous stresse :

Chaque mauvais choix maintenant = cascade d'échecs sur 5-10 ans. PIVAR révèle comment votre enfant fonctionne VRAIMENT pour choisir non seulement la bonne filière, mais surtout la bonne APPROCHE de cette filière.

Si votre enfant souffre déjà dans ses études :

Ce n'est la faute de personne. Il a choisi selon ses notes, pas selon son fonctionnement. PIVAR explique pourquoi ça coince et identifie ce qui marchera.

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Pour conclure

Si vous êtes sur cette page, c'est que l'orientation de votre enfant est importante pour vous, que votre enfant demande de l'aide, que les chiffres des orientations ratées vous  inquiètent.  À raison.

PIVAR n'est pas un test de plus. C'est une cartographie cognitive qui révèle :

• Les vraies capacités de votre enfant (pas ses notes)

• 12 spectres de missions où il excellera naturellement

• 25 environnements où ses capacités sont valorisables

• Des axes de progression bienveillants et concrets

Rose a découvert qu'elle n'était pas "nulle en maths" bien au contraire..  

Et votre enfant ? Quelle architecture cognitive le système scolaire n'a pas su voir ?

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Parce que dans un monde qui change, comprendre comment on fonctionne est le seul GPS fiable.